Chaque seconde, près de 2 000 cellules meurent naturellement dans le corps d’un adulte, soient 50 à 70 milliards par jour ! En l’absence d’une alimentation équilibrée et non carencée, qui est difficile à réaliser dans les conditions de vie moderne et a fortiori en situation de confinement, le système immunitaire n’est pas en mesure de jouer pleinement son rôle de défense de l’organisme, aussi bien pour résister aux contaminations qu’en cas d’infection déjà déclarée.
Une démarche de complémentation nutritionnelle basée sur la science
Parce que Revivre Labs est un laboratoire scientifique, les propriétés du puissant complexe antioxydant de notre complément alimentaire HNS 250 ont été mises en évidence par de nombreuses études*. Ce complexe a non seulement pour propriété de ralentir le vieillissement cellulaire en neutralisant la circulation des radicaux libres mais également de renforcer l’immunité naturelle face aux virus circulants.
Les antioxydants, supports essentiels du système immunitaire
« Mises à mal par leur exposition aux radicaux libres et pour contrer leur action délétère, les cellules peuvent bénéficier des fameux antioxydants. Ces derniers aident à maintenir l’intégrité de la cellule en neutralisant les radicaux libres, responsables de leur vieillissement prématuré », explique Bruno Houn, fondateur et directeur de la recherche de Revivre Labs.
« De nombreux individus présentent des signes de stress oxydatif, correspondant à un déséquilibre biochimique entre la génération d’espèces oxygénées activées (EOA), agressives pour notre organisme, et les défenses antioxydantes de l’organisme (que notre corps fabrique, mais que l’on absorbe par ailleurs par l’alimentation), en faveur des premières. Notre mode de vie moderne, mais également nos mauvaises habitudes alimentaires, augmentent de façon anormale la production des EOA.
Par ailleurs, nos réserves d’antioxydants primaires, naturellement produites par notre organisme, peuvent rapidement s’appauvrir, à cause d’une consommation excessive due à des infections intercurrentes par exemple. Notre système immunitaire, pour lutter contre les maladies, les blessures ou les infections, fait appel au monoxyde d’azote, un puissant antioxydant qu’il utilise pour neutraliser les agents pathogènes. Le processus d’oxydation génère aussi des radicaux libres. Ainsi, plus on est malade, plus notre organisme produit de radicaux libres.
Enfin, l’usage de pesticides dans l’agriculture conduit les plantes à fabriquer moins d’antioxydants, ce qui est véritablement problématique lorsque l’on sait que les fruits et légumes constituent le principal apport exogène d’antioxydants secondaires. » ajoute-t-il.
Des actifs naturels d’excellence
La SOD, acteur essentiel dans la prévention du stress oxydant
Nous privilégions les actifs d’origine naturelle, telle que la SOD extraite à partir de melon, qui fournit une protection efficace à la source de la formation des radicaux libres.
L’association acérola bio vitamine C et bioflavonoïdes soutient le système immunitaire et contribue à une bonne résistance, tout en luttant contre le vieillissement cellulaire. Les bioflavonoïdes participent notamment à contenir l’inflammation et sont particulièrement indiqués pour lutter contre les virus hivernaux.
Combiner nutrition beauté et protection immunitaire, rien de plus simple
Une posologie très simple : 2 gélules par jour pour des effets démontrés sur
- la peau (+80% d’amélioration de la douceur),
- les cheveux (+800% de repousse)
- et les ongles (doublement de la solidité)
ainsi que le renforcement prouvé du système immunitaire, au cœur de la stratégie antiâge du complément Revivre Labs HNS 250.
*Duchateau, J. et al. Beneficial effects of oral zinc supplementation on the immune response of old people. The American Journal of Medicine, Volume 70, Issue 5, 1001 – 1004
Bendich, A. (1993). Physiological Role of Antioxidants in the Immune System. Journal of Dairy Science, 76(9), 2789-2794.
Marikovsky M.; Ziv V.; Nevo N.; Harris-Cerruti C.; Mahler O. Cu/Zn superoxide dismutase plays important role in immune response. J. Immunol. 2003, 170, 2993–3001. 10.4049/jimmunol.170.6.2993.
